Dans le haut du classement je rappellerai les fameuses sucettes à l’anis d’Annie. Un texte et une musique magistralement écrits par un Serge Gainsbourg, manifestement très inspiré par l’allure ou l’apparence naïve de son interprète : France Gall. Elle fera par la suite une très belle carrière.
Après le grand Serge Gainsbourg me viens tout de suite à l’esprit la non moins célèbre : « Je vous ai apporté des bonbons » écrites et interprétée par Jacques Brel. Tout le monde connaît le refrain : Je vous ai apporté des bonbons, parce que les fleurs c'est périssable, puis les bonbons c'est tellement bon. Bien que les fleurs soient plus présentables... Ce texte et le premier cité traverseront les âges. En est-il d’autres ?
Je retiens d’abord quelque chose de moins connu mais d’absolument immanquable ! « Le Nougat » de Brigitte Fontaine. (La sœur de jacques Higelin pour situer). Brigitte Fontaine est un personnage absolument indéfinissable. Je vous laisse juge ! Suivez ce lien et appréciez à la fois la musique, le texte et la chorégraphie : C’est ici !
Une autre grande artiste française, Annie Cordy, s’y est elle aussi attelé. Et ça donne : Bonbons, caramels, esquimaux, chocolat (1953). Toute une époque ! Et non contente de ce titre, Annie Cordy est revenu à la charge, toujours sur le thème de la confiserie avec « Approchez, je vends des bonbons réglisse et vanille, noisette et citron »….Je crains que cela ne puisse plus passer aujourd’hui mais à l’époque on écoutait cela.
https://www.youtube.com/watch?v=Fty3Nzc-oiY
On trouve aussi toute une série de comptines destinées aux enfants. Anne Sylvestre en particuliers avec « Pour demander un bonbon » qui reprend tous les dimensions que l’on donne aux confiseries quand on est enfant. Voir pour cela notre page de blog : la sociologie des bonbons. En fait il aurait coûté bien moins cher d’écouter attentivement la chanson. Mais Anne Sylvestre écrivait à l’intention des petits et pas des grands…
Je garde un formidable « hit » pour la fin. Connaissez-vous « Fleurs et Bonbons » de Jacques Monty. Suivez ce lien qui vous permettra d’accéder à un document de l’INA absolument exceptionnellement « kitch » et c’est le moins qu’on puisse en dire !
Comment ne pas citer, même si c’est écrit dans la langue de Shakespeare Lollipop de Berverly Ross et Julius Dixon (1958). Evidemment, vous connaissez même si le titre ne vous dit rien de prime abord.
Voici le refrain : Lollipop lollipop, oh lolli lolli lolli
Lollipop lollipop, oh lolli lolli lolli
Lollipop lollipop, oh lolli lolli lolli
Lollipop
Call my baby lollipop, tell you why
His kiss is sweeter than an apple pie
Allez, c’est à vous ! Dans une version de l’époque. Ca fait plus authentique. Attention vous risque de vous mettre cet air en tête et d’en faire une obsession.
Imaginez que les charcuteries aient servies de support à l’inspiration de tous ces artistes ! Je n’ose imaginer de que Gainsbourg aurait pu choisir pour parfumer les baisers d’Annie. Brel aurait-il pu apporter du pâté ? Et Annie Cordy chantant : « Approchez ! Je vends de la saucisse, du pâté et du jambon ». Seule la grande Brigittte Fontaine pourrait relever ce défi. Et son fameux Nougat aurait pu devenir « T’occupes pas et donnes moi du pâté de foie ! ».
Après le grand Serge Gainsbourg me viens tout de suite à l’esprit la non moins célèbre : « Je vous ai apporté des bonbons » écrites et interprétée par Jacques Brel. Tout le monde connaît le refrain : Je vous ai apporté des bonbons, parce que les fleurs c'est périssable, puis les bonbons c'est tellement bon. Bien que les fleurs soient plus présentables... Ce texte et le premier cité traverseront les âges. En est-il d’autres ?
Je retiens d’abord quelque chose de moins connu mais d’absolument immanquable ! « Le Nougat » de Brigitte Fontaine. (La sœur de jacques Higelin pour situer). Brigitte Fontaine est un personnage absolument indéfinissable. Je vous laisse juge ! Suivez ce lien et appréciez à la fois la musique, le texte et la chorégraphie : C’est ici !
Une autre grande artiste française, Annie Cordy, s’y est elle aussi attelé. Et ça donne : Bonbons, caramels, esquimaux, chocolat (1953). Toute une époque ! Et non contente de ce titre, Annie Cordy est revenu à la charge, toujours sur le thème de la confiserie avec « Approchez, je vends des bonbons réglisse et vanille, noisette et citron »….Je crains que cela ne puisse plus passer aujourd’hui mais à l’époque on écoutait cela.
https://www.youtube.com/watch?v=Fty3Nzc-oiY
On trouve aussi toute une série de comptines destinées aux enfants. Anne Sylvestre en particuliers avec « Pour demander un bonbon » qui reprend tous les dimensions que l’on donne aux confiseries quand on est enfant. Voir pour cela notre page de blog : la sociologie des bonbons. En fait il aurait coûté bien moins cher d’écouter attentivement la chanson. Mais Anne Sylvestre écrivait à l’intention des petits et pas des grands…
Je garde un formidable « hit » pour la fin. Connaissez-vous « Fleurs et Bonbons » de Jacques Monty. Suivez ce lien qui vous permettra d’accéder à un document de l’INA absolument exceptionnellement « kitch » et c’est le moins qu’on puisse en dire !
Comment ne pas citer, même si c’est écrit dans la langue de Shakespeare Lollipop de Berverly Ross et Julius Dixon (1958). Evidemment, vous connaissez même si le titre ne vous dit rien de prime abord.
Voici le refrain : Lollipop lollipop, oh lolli lolli lolli
Lollipop lollipop, oh lolli lolli lolli
Lollipop lollipop, oh lolli lolli lolli
Lollipop
Call my baby lollipop, tell you why
His kiss is sweeter than an apple pie
Allez, c’est à vous ! Dans une version de l’époque. Ca fait plus authentique. Attention vous risque de vous mettre cet air en tête et d’en faire une obsession.
Imaginez que les charcuteries aient servies de support à l’inspiration de tous ces artistes ! Je n’ose imaginer de que Gainsbourg aurait pu choisir pour parfumer les baisers d’Annie. Brel aurait-il pu apporter du pâté ? Et Annie Cordy chantant : « Approchez ! Je vends de la saucisse, du pâté et du jambon ». Seule la grande Brigittte Fontaine pourrait relever ce défi. Et son fameux Nougat aurait pu devenir « T’occupes pas et donnes moi du pâté de foie ! ».